La France sous la menace du terrorisme islamique

banniere.gifAvant que vous commenciezà lire l’article ci-dessous rédigé sur le site france-echos.com qui, je le rappelle est un site fondamentalement islamophobe, je souhaite apporter quelques commentaires sur cette “peur irraisonnée” qu’est l’islamophobie. Vous le verrez par vous même qu’en lisant le texte ci-dessous, il est question d’une paranoïa envers tout ce qui a rapport avec l’islam. Il est fait un amalgame entre les musulmans et les terroristes; comme si tous les musulmans étaient des terroristes potentiels et que l’islam n’était qu’un appel à la violence ainsi qu’à la destruction totale de l’occident.

Il est vraiment aberrant et dangereux à la fois de mettre tout dans le même sac; certes, comme dans toutes les religions des extrémistes existent. Cependant ils ne constituent qu’une infime partie et ne représente donc pas la totalité du groupe, communauté ou religion. Mais quant on lit le texte suivant on se rend compte à quel point, l’auteur essaie de montrer l’islam comme un danger imminent pour la France. Le terrorisme n’a pas de religion et donc il est totalement faux de prétendre le contraire surtout que toutes les autorités musulmanes ont condamnés très vivement ces actes de barbareries.

Ainsi au lieu de donner des chiffres afin d’établir des statistiques de terroristes potentiels, l’auteur devrait plutôt réfléchir aux conséquences néfastes que cette incitation à l’islamophobie pourrait apporter à la France.

J’ai donc repris en intégralité le texte rédigé par l’auteur de cet article  en indiquant toutes les références et sans rien changer

“Si Dominique de Villepin déclare froidement à l’Assemblée Nationale ne pas être en « guerre contre le terrorisme », la réalité est tout autre : le terrorisme islamique est bel et bien en guerre contre la France, et la politique pro-musulmane et pro-islamiste du gouvernement de Jacques Chirac ne protège nullement notre pays des fous d’Allah.
Malgré les discours anesthésiques de nos ministre sur « la religion de paix et de tolérance », malgré les courbettes aux fascislamistes d’Iran, malgré les serrages de mains à l’UOIF et aux islamistes « français », l’Hexagone est devenue l’une des cibles du terrorisme au nom d’Allah.

DST, Renseignements généraux, juges antiterroristes, policiers et gendarmes multiplient les arrestations, les rapports alarmants, les mises en garde. Tous les services français travaillent en étroite collaboration avec leurs homologues étrangers, en particulier américains, anglais, marocains et belges.

Depuis ce tragique 11 septembre 2001, la DST a interpellé, selon son patron Pierre de Bousquet de Florian, 400 islamistes, dont 152 sont toujours incarcérés. De nombreux réseaux sont découverts, avec très souvent des préparations d’explosifs en vue d’attentats. Les recettes d’explosifs liquides comme ceux de Londres circulent sur Internet. La DST évoque également le risque bactériologique et chimique.

Selon les R.G., il y a au moins 3.000 candidats à l’attentat suicide sur le sol français. Ces mêmes services estiment le nombre de « jihadistes » prêts à collaborer à des actions terroristes à 50.000, tandis que les sondages en Europe nous montrent qu’un tiers des musulmans de tel ou tel pays veulent appliquer la charia et que 10% à 20% approuvent les attentats et la « guerre sainte ». Rapporté à une population musulmane de 5 millions de musulmans en France, c’est donc au moins 500.000 personnes qui peuvent permettre aux terroristes d’être « comme un poisson dans l’eau » dans nos centaines de zones de non-droit.

Le patron de la DST déclare sur France-Info que son service passe désormais à la « la neutralisation préventive des terroristes ». Il était temps ! Il ajoute que la France n’est nullement protégée contre le terrorisme islamique et ses idéologues qui classent notre pays dans le camp des « croisés ».

Même son de cloche chez le juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière, qui était l’invité de RTL, et qui définit la menace terroriste à un niveau « très élevée » et « en hausse » en France.

La situation est d’autant plus complexe que les réseaux ont évolué. Nous n’avons plus affaire à des spécialistes formés au Moyen-Orient et obéissant à un commandement central, mais à des groupes autonomes et éparts de musulmans apparemment « intégrés », comme lors des attentats de Londres ou du complot déjoué récemment en Angleterre.

Toutes les mosquées de France sont sous étroite surveillance, depuis qu’on a découvert que même des lieux de culte « modérés » servent de lieu de réunion, de recrutement et de propagande jihadiste. Des chefs religieux « au-dessus de tout soupçon » comme Dhaou Meskine, interlocuteur de Nicolas Sarkozy pour créer un « CFCM bis », sont accusés de financer le terrorisme et d’abriter des centres d’entraînement.

Ce polymorphisme des terroristes est d’autant plus dangereux pour notre pays que la France comporte 10% de musulmans, et donc, en proportion, bien plus de candidats aux attentats que les autres pays européens.

Par la taille de sa « cinquième colonne » islamiste, la France reste le « ventre mou » ciblé par les islamistes. Comme leurs opérations d’islamistisation « soft » (hijjabs à l’école, menus hallal, financement public des mosquées, instauration du délit de blasphème, etc.) échouent car elles reçoivent de plus en plus d’opposition des Français et elles commencent à irriter les politiciens complaisants à l’approche des élections, le passage à l’acte terroriste est de plus en plus probable.

Al Qaïda a souvent désigné notre pays comme ennemi de l’islam, notamment suite à la loi sur la laïcité à l’école considérée comme un affront contre les musulmans. Le fait que de nombreux médias français aient diffusé les caricatures de Mahomet permet aux islamistes de trouver d’autres prétextes à l’encontre de notre pays, et de porter le jihad au cÅ“ur de la France. L’implication de la France au Liban, qui aura tôt ou tard à affronter le Hezbollah vanté par les islamistes français et leurs alliés, donnera une raison de plus à la haine anti-française des fous d’Allah.

Tous les ingrédients d’un 11 septembre ou d’un 11 mars français sont donc en place.

Cet état de fait constaté par les services officiels chargés de lutter contre le terrorisme démontre l’inefficacité et la contre-productivité de la politique « dhimmi » de nos dirigeants et élus, de droite comme de gauche. Et pourtant ceux-ci continuent de faire l’autruche, alors qu’ils ne peuvent ignorer une réalité constatée par tous leurs services et informateurs de terrain.

Malgré tous les gages de bonne volonté que leur apporte Nicolas Sarkozy, nos alliés commencent à s’irriter du double discours du gouvernement français, qui flatte les musulmans et les islamistes au niveau intérieur comme à l’international, et qui donne ainsi un blanc-seing aux terroristes de tous poils. Le « ventre mou » de l’Europe se trouve coincé entre les islamistes et leurs opposants, ce qui ne pourra qu’attiser le chantage au jihad sur le sol français et renforcer la valse-hésitation peureuse du gouvernement Chirac, isolant ainsi l’Hexagone dans le camp occidental.

Il est temps de mettre un terme à cette attitude suicidaire. Ce n’est plus une question de politique, c’est une question de sécurité publique.”

Benoît Jihad  Islam[isme] de France le mardi 12 septembre 2006

Comme vous pouvez le constatez à la lecture de cet article, une islamophobie se développe par l’intermédiaire de telles personnes qui montrent une vision totalement déformée de la réalité.

Ayhan TOK
ihro@cojep.com

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